Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Quels titres boursiers et rapports d'analystes ont retenu l'attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers. 23 janvier Dans les (...)

La reprise de l’industrie des voyages se poursuivra-t-elle?

La tarification et le taux d’occupation dans l’industrie des voyages sont demeurés solides, le consommateur ayant privilégié (...)

Faites partie de notre classement des plus grands cabinets comptables au Québec

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Revue de presse

Quoi lire cette semaine ailleurs sur le web?

Un boum du luxe

Alors que les ventes au détail se sont effondrées et que le marché boursier a fléchi de 20% depuis l’année dernière, l’industrie du luxe a cru d’à peu près le même pourcentage en 2022. «L’une des différences les plus intéressantes entre le boum du luxe de l’après-COVID et le marché de l’après-2008 est que, cette fois-ci, la consommation ostentatoire ne semble pas poser de problème, écrit Rana Foroohar pour le Financial Times. Il s’agit peut-être d’un héritage de l’ère Trump “la cupidité a du bon”. Ou peut-être cela reflète-t-il des réponses politiques différentes aux crises respectives.» Les Affaires avait d’ailleurs abordé le sujet dans ses pages en novembre…

Les prisonnières de la ferme Baudonne

Après un séjour en prison, deux femmes ont intégré la ferme Emmaüs Baudonne, située à Tarnos, dans les Landes. Elles y apprennent les arts du maraîchage, tout en se reconstruisant. Découvrez l’histoire de Maëlle et d’Evelyne à l’émission Les pieds sur terre sur les ondes de France Culture. 

Cure de jeunesse 

Vous avez l’intention de rénover votre maison prochainement? Le Wall Street Journal offre quelques astuces pour bien préparer financièrement les améliorations que vous souhaitez apporter à votre cocon. Parce que payer avec sa carte de crédit n’est pas toujours la meilleure option…

Je suis où je devrais être, ici et maintenant

Pat Wadors a été diagnostiqué dyslexique à l’âge adulte, plusieurs dizaines d’années après avoir quitté les bancs d’école. «Au fur et à mesure que j’avançais dans ma carrière de RH, on m’encourageait à dissimuler ma dyslexie pour améliorer mes chances de promotion, raconte-t-il pour Quartz. Le fait de devoir cacher ma façon de travailler et de traiter l’information était stressant, nécessitait beaucoup d’énergie mentale pour m’intégrer et me freinait à l’école et au travail. Je ne pouvais pas être moi-même. Et je n’avais certainement pas l’impression d’être à ma place.» Pourtant, se sentir à sa place est un incontournable en milieu de travail.